Bilan des trois articles précédents :
Un bébé, ça trouve aussi absurde de se nourir au biberon que d'imaginer une bête à une bosse et demie.
Moralité :
Un bébé, tu peux lui faire croire n'importe quoi pourvu que t'aie l'air sûre de toi.
Pire qu'un collégien, visiblement.
( Et dieu sait qu'on peut faire avaler à peu près n'importe quoi à un collégien... )
(vous n'imaginez pas)
( surtout quand on est prof de maths : va savoir pourquoi,les collégiens ont plus foi
en la parole d'un prof de maths qu'en celle d'un prof de français ou d'anglais, j'ai testé )
(et vous n'imaginez pas non plus où peut aller l'imagination d'un prof en manque de fantaisie...)
Je sens que je vais bien me marrer avec c'te gosse.
( mère indigne !! )
( m'en fous !!!)
NB : Lecteur/trice assidu/e (s'il en reste), ne t'emballe pas devant l'avalanche inattendue d'articles ces derniers jours. C'est juste que les avalanches sont d'actualité par chez moi ces temp-ci. C'est que les quatre articles (oui, je dis bien les quatre) sont le fruit d'un réveil tardif (parfaitament incongru et savoureux) de MaTitona lundi matin. Donc, pour me relire, il faudra attendre la prochaine grass'mat de la princesse...
(et, heu, comment dire... les RGO se calment. Elle commence à faire les dents. Joie !)